Le cabanon du ponton

Voir les photos
précédente
suivante
Scroll

144 m² – 4 chambres Presqu'île de Giens, Hyères, Var

Prix sur demande

Contactez-nous

Location les pieds dans l’eau
face à Porquerolles

C’est au bout de la presqu’île de Giens en façade Sud que l’on découvre cette petite maison front de mer faisant face à Porquerolles et au fortin de la Tour Fondue. Cette propriété, pieds dans l’eau, d’une surface de 144 m2 habitables agrémentée d’une vaste terrasse Sud surplombant la mer.
Bordée par la méditerranée, cette petite maison de pêcheur bénéficie d’une situation exceptionnelle qui permet de profiter du soleil tout au long de la journée. Les espaces extérieurs et intérieurs sont largement ouverts sur la mer et profitent d’une vue panoramique sur toute la baie et les îles d’Or.
Privilège ultime, la propriété possède un accès direct à la mer, donnant sur un ponton.
Des activités sportives sont à disposition sur place : activités nautiques (paddles, canoë, kyte surf, planche à voiles, plongée…),
La maison de plain-pied se compose : un hall d’entrée, un séjour de 47 m2 avec cheminée ouvert par de grandes baies vitrées sur une vaste terrasse Sud Est avec vue mer panoramique, son coin cuisine est entièrement équipée et aménagé, ainsi qu’un cellier attenant, l’espace nuit comprend une grande
master avec salle de bain et dressing et trois chambres et 2 salles d’eau.
Toutes les chambres surplombent la mer.
Une place de stationnement complète le bien, ainsi qu’un emplacement pour motos et vélos. Un mouillage est disponible pour un bateau.
Pour amoureux de séjour inoubliable en bord de mer…
Bèn-vengudo au cabanon du ponton!

Mon histoire : Premier restaurant du village dans les années 50, incontournable pour mes spécialités de poisson et ma tarte chaude aux pommes, on venait jusqu’à moi en bateau, accostant sur mon ponton.

Dans les années 70, Jean Louis Richard, comédien, réalisateur, scénariste de François Truffaut jeta son dévolu sur moi. Ma grande terrasse sur pilotis face aux îles d’Or devint un lieu de création. Les gens du cinéma se rencontraient, les projets se faisaient et se défaisaient dans une atmosphère joyeuse de bande de potes.

Puis je devins le refuge de Jean Louis Trintignant dans les années 80. Jean Louis, dans son élément sur les planches, face aux caméras et sur les circuits automobiles, adorait la mer. Il avait bien essayé d’être marin, mais être sur l’eau n’était pas fait pour lui. C’est sans doute pour ça qu’il a jeté son dévolu sur moi. Pour vivre sur un bateau, mais sans déraper sur son encre la nuit. Mes murs se souviennent…
Je l’entends encore répéter ses rôles ou ses lectures de poésies
La famille ne m’a pas abandonné. C’est son fils qui, à présent, est à la barre!

Photographe : © Studio Godillot