Le Brusc, Six-Fours-les-Plages, France
600 m² – Alain Capeillères (1970 & 1985) – location de vacances & production
Une propriété réalisée par l’architecte Alain Capeillères, composée d’une maison d’environ 600 m² et d’une vaste piscine avec Pool-House, le tout édifié sur un terrain d’environ 2,4 hectares.
Cette œuvre à habiter pieds dans l’eau bénéficie de 2 accès privés à la mer, un local matériel nautique, 7 chambres en suite, un bureau, un salon d’été, un salon d’hiver, une salle à manger d’hiver et un espace repas d’été, une cuisine indépendante, une salle TV, une chambre de service, un pool-house, une piscine de 25 mètres de long par 12,50 mètres de large, un tennis et de multiples terrasses.
Au début des années 1970, l’architecte Alain Capeillères réalise une piscine pour sa résidence d’été à Six-Fours-les-Plages, à proximité du charmant port de pêche du Brusc face à l’île des Embiez, sur une merveilleuse propriété de plus de 3 hectares pieds dans l’eau.
En 1985, l’architecte attaque son projet de maison de vacances en restructurant le bâtiment existant avec une rigueur et une symétrie incroyable.
Tel un vaisseau, cette architecture remarquable rappelle le travail de l’architecte suisse Mario Botta et ses célèbres fractures apportant l’axe de symétrie à ses créations.
On y retrouve également, l’influence de l’agence italienne Superstudio et les couleurs du mouvement Memphis.
Pour amoureux de séjour artistique en bord de mer…
Prix : Prix sur demande
Nous contacterPhotos : © Cerise Doucède
Face à la méditerranée, il excave une partie du terrain en pente et libère un volume à l’abri des vents, cerné de murs de soutènement. Couvert de plus de 100.000 carreaux de faïence blanche de la firme anglaise H&R Johnson, le paysage architectural courbe accueille en son centre un bassin de 25 mètres de long par 12,5 mètres de large.
Cette piscine créative sera le lieu de rencontres de nombreux artistes et célébrités. Elle sera immortalisée par l’œil de la photographe Martine Franck en 1976. En 1978 elle sera le décors central du film burlesque « Le maître nageur » réalisé par Jean-Louis Trintignant.
« Même une pièce qui doit être obscure a besoin au moins d’une petite fente pour qu’on se rende compte de son obscurité. Mais les architectes qui aujourd’hui dessinent des pièces ont oublié leur foi en la lumière naturelle. Assujettis à la facilité d’un interrupteur, ils se contentent d’une lumière statique et oublient les qualités infinies de la lumière naturelle grâce à laquelle une pièce est différente à chaque seconde de la journée » Louis Kahn
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